Gérard BENHAMOU, Journaliste et cinéaste, reçoit Avi PAZNER, Ancien ambassadeur d’Israël en France et Ariel PICARD, Coordinateur national pour l’alya de France
MERCREDI 17 FEVRIER, à 19h30 au Café Frishman
A chaque soirée un journaliste interpelle une personnalité du monde politique, qu’elle soit de gauche ou de droite. Vos réactions animeront le débat en fin de soirée.
Modérateur :
Gérard BENHAMOU, Journaliste et cinéaste
Invités :
Avi PAZNER, Ancien ambassadeur d’Israël en France
et
Ariel PICARD, Coordinateur national pour l’alya de France
Organisateur :
Roger GOLDSTEIN
Trois déclarations politiques déterminantes semblent annoncer de façon radicale, le manque d’avenir du processus de négociations en vue de parvenir à un accord de paix avec les palestiniens :
Netanyahou affirme
« Israël n’ a pas d’autre choix dans la réalité politique actuelle
que de continuer à contrôler la Judée Samarie »
Isaac Herzog, le chef de l’opposition :
« une solution négociée à deux états n’est pas possible actuellement,
Israël doit prendre des mesures unilatérales pour séparer israéliens et palestiniens
à Jérusalem et en Judée Samarie »
Mahmoud Abas, le président de l’AP :
« je ne reconnaîtrais pas un état juif. Pour quelle raison ? Comme ça ! »
Les relations entre Israël et l’Union Européenne se sont tendues suite à la décision de L’UE d’imposer l’étiquetage des produits israéliens dont la fabrication est liée à Jérusalem Est, le Golan ou la Judée Samarie. En novembre en réaction, Netanyahou a ordonné que les agences gouvernementales israéliennes excluent l’UE, un membre du Quartet en charge du processus de paix, de tout effort de négociations ou d’engagement israélo –palestiniens. Depuis d’autres événements sont intervenus. Aujourd’hui quel est le profil de cette relation ?
Faut-il prendre ces déclarations à la lettre ? Gérard Benhamou s’emploiera avec notre invité Avi Pazner à décrypter les réalités qui s’annoncent derrière ces affirmations.
L’alya des juifs de France suscite de nombreuses déclarations et commentaires et parfois, même une certaine confusion. Ariel Picard, coordinateur national pour l’alya de France, fera le point.